Nos villages

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carte des villages

abeilhan

www.ville-abeilhan.fr

04 67 39 00 21

Origine du nom : homme latin : APILIUS vétéran de l’armée romaine

Village Languedocien accueillant et ensoleillé, Abeilhan est un village médiéval typique des villages méditerranéens. Il ne subsiste, en son vieux centre, que quelques vestiges de l’époque où il était nécessaire de s’entourer de murailles pour se préserver des brigands ou autres bandits de grands chemins. C’est ainsi qu’on peut encore voir à deux endroits précis un départ de voûte donnant sa forme à une porte d’entrée du village dans les remparts (un à l’angle de la rue Maréchal-Joffre, pour accéder derrière l’église, l'autre à l'entrée de la rue Blaise-Pascal menant à la porte de l'église). Le nom d’ABEILHAN proviendrait, dit-on, du nom d’un homme latin, APILIUS, vétéran de l’armée romaine, à qui les généraux ou les consuls accordaient des terres pour s’installer dans les pays conquis après de bons et loyaux services. Il aurait ainsi fondé une vaste ferme qui petit à petit a formé le village nommé ABELINO puis ABELLANO pour devenir ABEILHAN (comme l’on peut le retrouver sur les archives). A voir et visiter :

  • Les Berges de la Thongue
  • L’église
  • Chapelle Saint Pierre
  • Centre historique

abeilhan
abeilhan
abeilhan

autignac

www.ville-autignac.fr

04 67 90 44 11

Origine du nom : seigneurie des Altiniaco (1155)

D’abord castrum romain, l’ancien village situé dans la plaine près de l’église Notre-Dame de Belloc a été entièrement reconstruit pierre par pierre, au XIVe siècle, sur la colline d’ «Auquillat», à proximité du château seigneurial. En se promenant dans les petites ruelles du vieux village, le promeneur découvre les maisons les plus anciennes, et parfois, des dates gravées dans la pierre témoignant de cette époque; dans l’église Saint-Martin, les vitraux datent de 1895. Comme beaucoup de communes, AUTIGNAC a son animal totem : L’alouette huppée. La légende raconte que des paysans qui scrutaient le ciel au moment de partir aux champs, crurent voir sur la colline en face 2 gros oeufs desquels sortaient des alouettes huppées… Ainsi la colline que nous pouvons admirer d’AUTIGNAC devint le Pic de la coquillade. Faut-il alors y voir un point commun qui explique l’origine du totem ? Notons que l’on surnomme les autignacois « los cauquilhats » (les coquillards) …

  • Porte du Château, dernier vestige féodal
  • Château de Lavit
  • Eglise du XIXe siècle

autignac
autignac
autignac
autignac

cabrerolles

www.cabrerolles.fr

04 67 90 28 58

Origine du nom : Cabrairole, «le lieu des chèvres», dérivé du latin cabra (chèvres) et du suffixe - olis.

Entre plaine et montagne, le village de Cabrerolles et son castrum sont édifiés au bout d’un éperon rocheux séparant deux vallons profonds qui s’ouvrent vers la plaine biterroise. La commune de Cabrerolles se compose de cinq hameaux : La Liquière, Lenthéric, Aigues-Vives, La Borie Nouvelle et Cabrerolles. Sur le pic étroit qui domine le village, une imposante chapelle castrale fortifiée construite vers le Xe siècle, dédiée à Notre-Dame de la Roque, marque fortement le paysage en surplombant un ensemble médiéval fortifié du Xe siècle (les ruines de l’ancien château) dont il reste en partie un donjon et les murs d’enceinte. La chapelle possède une nef unique, voûtée en berceau, et une abside en cul de four. L’édifice, ancienne église paroissiale, a été abandonné depuis au moins un siècle (récit de voyageurs) et la Commune de CABREROLLES a entrepris de restaurer ce monument symbole de son patrimoine et de son paysage. Ce point stratégique commandait autrefois une voie d’échanges qui, de l’Aveyron à travers la montagne, menait les troupes et les commerçants vers la riche plaine biterroise.

  • L’ensemble castral Notre-Dame de la Roque
  • Eglise paroissiale de Saint Amand du XVIIIe
  • Le cirque du Clot
  • Le vignoble en courbes de niveau
  • Procurez-vous dans votre office la fiche patrimoine « La chapelle castrale »

cabrerolles
cabrerolles
cabrerolles
cabrerolles

causses-et-veyran

04 67 89 66 71

Origine du nom : Causse de caussiovuent du latin calx, la chaux, la pierre à chaux. Veyran du nom d’homme varius ou verius et du suffixe anum (le lieu)

Blotti au Nord de l’enceinte fortifiée, il forme une demi-lune qui embrasse la chapelle castrale formant ainsi un vrai « bloc ». Dans l’enceinte, les rues sont rares, l’habitat prenant toute la place en s’adossant à l’enceinte ou en passant, par des porches, par-dessus la rue. A voir et visiter :

  • Les pilliers Gallo-Romains
  • Le prieuré Saint Server
  • L’église
  • Capitelles

causses-et-veyran
causses-et-veyran
causses-et-veyran

caussiniojouls

04 67 95 01 03

Origine du nom : Caucenogilo (Caucinus et le suffixe ajolis = Causse dans les nuages)

La commune de CAUSSINIOJOULS vit essentiellement de la viticulture, classée en AOP FAUGERES : est située à 315 mètres d’altitude et les habitants vivent au milieu des jardins et des fleurs puisque CAUSSINIOJOULS a été pendant plusieurs années consécutives labellisée deux fleurs au concours des Villes et Villages fleuris départementaux, sélectionnée en 1994 pour participer au concours national. L’Eglise de Caussiniojouls, située à l’entrée du village, date du XVIe siècle et a été bâtie sur l’emplacement d’une chapelle romane de 966. Le clocher, avec son toit à quatre pentes, détruit par la foudre en 1920, reconstruit avec une flèche pointue, a été rénové en 1990 et a retrouvé son aspect d’origine en pierres de pays.Le Château de Caussiniojouls appartenait aux seigneurs de Faugères avant le XVIe siècle, et fut remis aux troupes royales vers 1580. Sur la façade nord, deux tours carrées, postes d’observation, sont reliées entre elles par un mur de ronde. A l’est du donjon, se trouve l’ancienne porte d’entrée du château surmontée de mâchicoulis. A voir et visiter :

  • L’église Saint Etienne
  • Le château
  • Les ruelles et les jardins fleuris
  • Les porches du cœur moyenâgeux
  • Circuit visite du village libre départ de la mairie

caussiniojouls
caussiniojouls
caussiniojouls

faugeres

www.faugeres34.fr

04 67 95 06 09

Origine du nom : Falgerias (Moyen Âge) = Falc-Hari. Falc = faucon, hari = combat) ou du latin falgeros = flore.

La commune de Faugères se compose du village de Faugères, mais aussi des hameaux de Soumartre et La Caumette, ainsi que du lieu dit de Poux-Secq. De nombreuses civilisations se sont croisées en ces lieux adossés aux premiers contreforts des Cévennes. Bien avant notre ère, les capitelles – nommées carabelles à Faugères - apparaissent sur les collines; ce sont à l’origine des abris de bergers et de cultivateurs. Le château de Faugères semble dater de 1030, mais les guerres de religion ont malheureusement détruit la plupart de ses fortifications. Il ne reste qu’une partie du donjon, et une tour de remparts qui abrite le temple protestant de 1795. Avec l’église Saint Christophe, église du XIIe, ils veillent sur les habitants de ce village à l’âme dualiste. Au sommet de la colline qui culmine à 417 m, les célèbres moulins (« Les Trois Tours ») méritent une visite et offrent une vue panoramique à 360 degrés sur la plaine et les collines.

  • « Les Trois Tours », moulins de Faugères du XVIe siècle
  • Le mont Marcou et ses carabelles (capitelles) en pierre sèche
  • Le site des Mates Basses (pastoralisme ancien)
  • Les ruelles du village médiéval et ses porches
  • L’église Saint Christophe
  • Les ruines de la chapelle préromane « Saint Etienne de Frontignan »
  • Le four à chaux
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faugeres
faugeres
faugeres
faugeres

fos

04 67 90 24 40

Fos est un petit village typique de l’arrière-pays. Il s’étage au flanc de la colline où l’on aperçoit les Pyrénées et la mer Méditerranée. Au détour de chaque ruelle escarpée, dans un dédale de bâtisses anciennes, le promeneur découvre l’atmosphère unique et préservée de cette commune colorée. A voir : le château (construit sous François 1er), le four banal, la charbonnière et l’église romane restaurée, ses arceaux gothiques et sa cloche, classée en 1602. Fos est un village fleuri. Les habitants s’engagent ainsi chaque année à faire resplendir la commune de fleurs de saisons, une initiative qui a été récompensée par de nombreux prix régionaux. Fos est mentionné au XIe siècle dans un cartulaire et dans plusieurs chartes. Le village est en effet situé près d’un ravin. Fos s’écrivait Foz en 1048, Fosso en 1115, Focibus en 1241 et Fossibus en 1262. Au XIIe siècle et jusqu’à la révolution, le fief de Fos faisait partie de la viguerie de Béziers. En 1834, Louis Antoine Baron de Sénégra et dernier seigneur de Fos, vend son domaine aux habitants.

  • Château construit sous le règne de François 1er sur la colline (vestige du gibet, les fourches patibulaires)
  • L’église romane restaurée, arceaux gothiques, cloche classée 1602
  • Four banal
  • Capitelle sur sentier de randonnée
  • Capitelle de Bergue
  • Charbonnière reconstituée

fos
fos
fos

fouzilhon

www.fouzilhon.fr

04 67 24 65 57

Sur une colline rocheuse se dresse fièrement le village de Fouzilhon, dominant les vignes, les champs d’oliviers et de blés, bordés de fruitiers et de fleurs sauvages. Situé à quelques kilomètres de Magalas, de Gabian, de Pouzolles et de Laurens, à moins d’une heure des plages et du Parc Naturel Régional du Haut Languedoc. Dans cette bourgade méditerranéenne, l’air a la bonne odeur d’un temps passé, médiéval... Les vestiges des remparts, du château fort et la chapelle castrale, trônent majestueusement sur le vieux village en circulade. La curiosité amène le promeneur à arpenter les ruelles et les escaliers de pierre pour atteindre le sommet du village. Du rocher, face à l’église et sur la place, la vue est panoramique et remarquable. Au bas du village, bordant l’Esplanade et le nouveau cimetière, la rue de l’Aqueduc doit son nom à l’aqueduc gallo-romain qui part de la source de la Resclauze (Gabian) jusqu’à Béziers. Celui-ci n’est pas visible ou très peu à cet endroit. Par contre, on peut l’apercevoir dans la garrigue en suivant le ruisseau de la « Lène » vers la source de la Font jeannette.

  • Ancien castrum puis château fort du IXe/XIe siècle (vestiges de remparts avec emploi d’opus spicatum)
  • Eglise Saint Etienne XI et XII (initialement chapelle castrale du château de Fouzilhon)
  • Vestige de l’aqueduc romain de Béziers situé dans la garrigue
  • Œuvre d’art : croix de fer forgée du XVIe
  • Cadran solaire

gabian

www.mairiedegabian.fr

04 67 24 65 18

Le village de Gabian est bien placé entre le magnifique Château-Abbaye de Cassan et les fameux crus de Faugères. Cette circulade est située au confluent de la Thongue et de la Lène et fut abritée par un fossé. Sa source de la Resclauze alimentait Béziers en eau grâce à son captage et son aqueduc romain. Plus tard, en 1605, on y exploita la première source de pétrole en France : la Font de l’Oli. Ensuite, un gisement de pétrole fut exploité jusqu’à la seconde guerre mondiale. De nos jours, c’est un village où il fait bon vivre et randonner au milieu des vallons et garrigues.

  • Le site de la Resclauze sur le plateau de Sauveplaine
  • Eglise romane du VIIe siècle remaniée au XVe
  • Fenêtres à meneaux et fontaines
  • Visite fléchée du centre ancien (demander le plan en mairie)
  • « La Font de l’Oli »
  • Procurez-vous dans votre office la fiche patrimoine « Village médiéval »

gabian
gabian

laurens

www.mairie-laurens.fr

04 67 90 28 02

Origine du nom : Laurenc (1139). Laurentiis (1270) (« laurier »)

Laurens est situé à 30 km des plages méditerranéennes, au confluent de deux torrents nommés « Naubine » et « Sauvanès » : ce sont eux qui donnent naissance au « Libron ». La flore y trouve une terre favorable à son épanouissement, particulièrement le laurier. C’est pourquoi les romains, dès le premier siècle de notre ère, donnèrent au village le nom de « cité du laurier ». Le château du XIIe siècle est une imposante bâtisse rectangulaire, composée de deux étages et d’une cour intérieure. Depuis 1982 il abrite la Mairie et juste à côté du château, un clocher se dresse au-dessus de la porte d’entrée du vieux village : cette tour servit successivement de guet au seigneur et de beffroi à la communauté. L’église Saint Laurent fut ouverte au culte en 1786 et transformée en « maison du peuple » (salle de conférence) à partir de 1923.

  • Le château du XIIe siècle
  • Le clocher
  • La Maison du peuple
  • La sculpture du coq triomphant à la mairie
  • La grande monastique de Sauvanès
  • La château de Grézan

laurens
laurens
laurens

magalas

www.ville-magalas.fr

04 67 36 20 19

Origine du nom : «meg» montagne, «magal», tas de cailloux.

Avant que ne s’élèvent, au XIe siècle sur le Magal, le château et le village qui porte aujourd’hui le nom de Magalas, le site de Montfo sur l’autre colline a servi d’oppidum laissant de nombreux témoins de l’occupation depuis l’âge de fer jusqu’à la période gallo-romaine: aqueduc (qui alimentait probablement en eau la ville de Béziers), puits, fours, amphores, monnaies et tessons variés (vitrines vestiges à la Mairie et à l’Espace Vins & Campanes). Perché sur la colline, le centre ancien du village conserve, quant à lui, de la période moyenâgeuse, des pans de murs, des échoppes, des places, une tour, des passages voûtés, une porte (des quatre portes qui s’ouvraient aux points cardinaux pour entrer dans le village, une seule subsiste « le portail de la coste » en parfait état) ainsi que des ruelles en « circulades ». Dans la campagne, les chemins emmènent les promeneurs dans les vignes, dans les vallons de Saint Pierre ou à la chapelle des garrigues de sainte Croix, à la cascade de Saint Jean ou sur les rives du Libron. L’église paroissiale Saint Laurent (XIe siècle) porte le nom de l’ancien seigneur de Magalas. A voir et visiter :

  • Vestiges de l’aqueduc romain de Béziers
  • Le portail de la Coste
  • L’église Saint Laurent (1ère mention en 1171)
  • Vestiges de l’enceinte médiévale
  • Façades de maisons romanes du XIIe et du XIIIe
  • Carillon Jan Donnes (40 cloches)
  • Chapelle Sainte Croix

magalas
magalas

margon

www.mairie-margon-34.fr

04 67 24 66 97

De quelque côté que vous veniez, vous découvrirez son magnifique château du XIIe siècle, remanié au XVIe, niché dans la verdure. Il se protège dans une jolie «circulade» qui se déroule en nous guidant sous les «banastes», à l’église Saint-Christophe dont le retable du XVe siècle est classé. Au hasard de la flânerie dans les ruelles, vous découvrirez les portes de la ville et d’anciennes façades bien restaurées. Vous pourrez aussi visiter le parc du château classé « Jardin remarquable » et côtoyer les margonnais et leur accueil chaleureux. A voir et visiter :

  • Le château de Margon
  • Eglise Saint Christophe du XIIème siècle (maître autel du XVIIe, clocher du XIIe et retable classé) demander à la mairie pour en faire la visite
  • Les Banastes

margon

montesquieu

04 67 24 83 58

Composée d’une poignée de hameaux et d’écarts lovés dans un écrin de chênes-verts et d’arbousiers, la commune de Montesquieu témoigne par son architecture d’une histoire volcanique. Le noir est de mise : celui du basalte qui confère aux bâtiments du Mas Rolland et de Paders, comme aux ruines du château et de l’église de Montesquieu, leur forte identité. Le hameau de Paders recèle un petit joyau : la chapelle pré-romane Saint-Michel à l’étonnant décor polychrome de ses arcades où alternent claveaux en basalte, en grès et en calcaire. A voir et visiter :

  • Saint Michel de Paders : chapelle pré-romane à chevet carré mentionné en 1098, restaurée en 1995
  • Roc de Murviel avec vue panoramique
  • Capitelles
  • Affleurements volcaniques sur le Causse.

murviel-les-beziers

Origine du nom : Le nom du village vient du pluriel latin muri vetuli, de l’occitan mur « mur d’enceinte », accompagné de l’adjectif vièlh « vieux ».

Dressé sur un pech, le château domine la plaine de l’Orb. Cet imposant poste de guet prospéra au fil des siècles. Sa Complexité architecturale indique qu’il fut remanié, reconstruit et agrandi plusieurs fois depuis le XIe siècle. Les marquis de Murviel siégèrent aux Etats du Languedoc jusqu’à la Révolution. A voir et à visiter :

  • Eglise Saint Etienne à Coujan
  • Eglise Saint Jean Baptiste
  • La cité médiévale en circulade
  • La Château
  • Le pigeonnier d’Yvernès
  • Procurez-vous dans votre office la fiche patrimoine « Au cœur de la circulade »

murviel-les-beziers
murviel-les-beziers
murviel-les-beziers

neffies

www.neffies.fr

04 67 24 60 92

Depuis la préhistoire, les hommes ont su apprécier les paysages neffièssois qui s’étendent jusqu’à la mer et aux Pyrénées d’un côté et qui surplombent plaines et collines des hauts-cantons de l’autre côté. Les ressources étaient variées. On en trouve encore certains vestiges tels que le puits de la mine pour le charbon, les capitelles pour le pastoralisme, le moulin de Julien pour les céréales. De nos jours, ce sont les vignobles aux cépages renommés, la culture du safran, les oliveraies qui enrobent le village. A voir et visiter :

  • Moulin à eau de Julien (direction de Fontès)
  • Capitelles et points de vue
  • Eglise Saint Alban (XIIIe siècle)
  • Vestiges de la Chapelle Saint Etienne de Trignan
  • Cœur de village restauré
  • Fenêtres style renaissance

neffies
neffies
neffies
neffies
neffies

pailhes

www.mairie-pailhes.com

04 67 36 31 13

Origine du nom : en occitan Palhièrs), l’origine du nom serait lié au nom latin de palearis qui évoque le souvenir de culture de paille, céréales et graminées.

On trouve Pailhès dans les textes dès 1255. Les portes munies de herses, les archères, les glacis à la base de hauts murs, assurent une défense efficace. Ancienne propriété des évêques de Béziers, il connut plusieurs propriétaires avant d’être vendu comme bien national. On voit, dans le centre historique, les voies romaines cardo et decumanus à l’origine de l’habitat romain. A voir et visiter :

  • Eglise Saint Etienne
  • Chapelle de Montalaurou
  • Vestiges du Château
  • Les Croix

pailhes

pouzolles

www.pouzolles.fr

04 67 24 61 70

Origine du nom : viendrait de podoli, puits d’huile (la proximité de la source de pétrole à Gabian permet de supposer qu’il devait en exister d’autres à Pouzolles)

Le nom de Pouzolles commence à être mentionné au début du XIe siècle bien que l’on trouve de nombreux témoignages sous l’occupation romaine. Le village, autrefois réputé pour ses eaux-de-vie et ses draperies, est entouré par 7 collines séparées par une rivière, la Thongue. Il est surmonté des deux tours monumentales de son château du XVe siècle. De là, la vue s’étale sur les terres rouges, la garrigue, et une belle plaine alluvionnaire qui permet de récolter un excellent vin. La vie du village est remarquablement animée par une équipe de bénévoles qui se feront un plaisir de vous accueillir tout au long de l’année au sein de nombreuses associations. A voir et visiter :

  • Château du XVe siècle et ses deux tourelles
  • Eglise du XIVe siècle remaniée au XIXe siècle
  • Cœur de village avec ses maisons du XVe et les fondations de la chapelle
  • Porte Saint-Martin
  • Moulin à vent
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pouzolles
pouzolles

puimisson

www.ville-puimisson.fr

04 67 36 69 00

Situé près de la voie antique Béziers-Lacaune, le castrum de Podio Missionis est cité en 1182. Il a conditionné la suite la forme circulaire du village avant d’être profondément modifié au cours des temps pour devenir l’un des plus beaux ensembles architecturaux du XVIIe siècle. C’est à Puimisson qu’est né en 1230, Guillaume Durand, évêque de Mende. Ce languedocien issu de la petite noblesse poursuit des études de droit en Italie et deviendra juriste connu sous le nom de speculator, canoniste, homme politique et gouverneur des Marches Pontificales. Au XIIIe siècle, il a montré ses qualités d’administrateur qui annoncent les pratiques de la papauté avignonnaise. Pour mettre l’art à l’honneur, un Théâtre de verdure et un parc ont vu le jour au centre du village dans les années 1990. A voir et visiter :

  • Ancien castrum puis château fort féodal du XIIe siècle remanié au XVIIe siècle
  • Théâtre de verdure
  • L’église Saint Martin de Pederne (XIXe siècle)
  • Centre spirituel de Saint Joseph de Mont- Rouge

puimisson
puimisson

puissalicon

www.puissalicon.fr

04 67 36 69 50

Origine du nom : vient de Podiosaliconis- podio, le puy ou le puech .

Sur un puech, avec à son sommet un gros rocher sur lequel fut édifié le château fort au XIIe siècle par la famille de La Broue.  Au XIe siècle, le clocher dit « tour romane » fut édifié avec son église: St Etienne de Pézan, seule la tour subsiste, magnifique témoignage de l’art lombard. C’est au XIVe siècle, que l’église paroissiale Notre Dame de Grâce fut édifiée. Le village comporte des « circulades », intégrant 3 enceintes de remparts épais avec trois portes dont une, particulièrement bien conservée : La Porte des Pradelles et une, récemment restaurée : La Porte Perot. Puissalicon, comme Rome ! comporte 7 collines, est traversé à l’Ouest par le Libron, fleuve côtier aux crues redoutables… Plus de 13 lieux ont montré des vestiges d’un passé romain, puis wisigothique. Plusieurs villas romaines ont occupé les parties basses du territoire et ont révélé la présence de nombreux et précieux objets et statues.   A voir et visiter :

  • Eglise Notre Dame de Grâce La Tour Romane
  • Le Château féodal du XIIe siècle
  • Portes médiévales
  • La Tour Romane

puissalicon
puissalicon

roquessels

www.roquessels.fr

04 67 90 24 08

Construit en amphithéâtre au pied d’un rocher abrupt, le village de Roquessels est dominé par d’anciennes vestiges féodaux. Bâtis sur le roc de la colline, la Chapelle « Notre Dame » et le château seigneurial datent du XIIe siècle. Les vestiges du château sont visibles aujourd’hui : les ruines des remparts et une tour carrée trônent fièrement sur le « roc » (les murailles du côté Nord et Sud ont été bâties sur des rochers taillés à pic). La chapelle Notre-Dame de Roquessels est attenante au château, elle possède de magnifiques fenêtres romanes, des murs épais à trois faces et une cuve baptismale romaine. On peut voir encore les traces d’un escalier creusé en partie dans le roc. De ces hauteurs, le point de vue est remarquable, du Mont de la Guardiole et des villes côtières de Sète à Agde jusqu’aux Pyrénées et au Pic du Canigou. Les petits jardins et les ruelles escarpées, ouvertes sur des chemins s’échappant dans les forêts méditerranéennes, les vignes et les champs d’oliviers, sont le départ de promenades et de randonnées agréables. Le village est traversé par la rivière de la Thongue. Un sentier amène le promeneur sur les hauteurs, jusqu’à la chapelle pour profiter de la vue. Des tables permettent aux visiteurs de pique-niquer. Du village, plusieurs chemins offrent de belles randonnées. A voir et visiter :

  • Vestiges château féodal et sa chapelle castrale (deuxième moitié du XIIe siècle) avec baies romanes et Cuve baptismale romaine
  • Le roc du Cayla
  • Petits jardins et ruelles escarpées

roujan

04 67 24 60 66

Le village de Roujan déjà cité au IXe siècle sous le nom de Rogani (terre rouge) fut occupé dès le néolithique (sépultures) puis à l’époque romaine (habitats et temples). Organisé en circulade autour d’un noyau d’origine médiéval, trois des quatre portes encore visibles témoignent de son passé. Un circuit pédestre illustré « Les Portes du Temps » vous invite à découvrir ce patrimoine historique. Roujan héberge sur son territoire le célèbre Château-Abbaye de Cassan à 2 km du centre-ville ... à découvrir absolument. A voir et visiter :

  • Château de Cassan
  • Eglise Saint Laurent, reliques de sainte Marthe
  • La chapelle pré-romane de Saint Nazaire
  • Capitelle sur sentier de randonnée
  • Platane saint Majan planté en 1800
  • Fouilles archéologiques Saint Jean
  • Procurez-vous dans votre office la fiche patrimoine « Les portes du temps »

roujan
roujan
roujan
roujan

saint-nazaire-de-ladarez

04 67 89 64 57

Origine du nom : viendrait du culte chrétien de Saint Nazaire et du nom gallo-romain du territoire « Lazareto » transformé avec le temps en Ladarez

La plus ancienne trace écrite du château date de 1105. On voit aujourd’hui un corps de logis à cour centrale, une tour carrée, une fenêtre du gothique flamboyant et une fenêtre géminée. Cet imposant château était un des castra wisigoths dressés face à l’ennemi franc. Par la suite, il était un passage obligé vers la montagne et possédait un octroi. A voir et visiter :

  • Ermitage Saint Etienne
  • Chapelle Saint Jean de Calen
  • Eglise Saint Nazaire-Saint Celse
  • Les vestiges du château et des remparts

saint-nazaire-de-ladarez
saint-nazaire-de-ladarez
saint-nazaire-de-ladarez

saint-genies-de-fontedit

Origine du nom : Saint Geniès est le célèbre martyr d’Arles (250 ap. JC).

Saint-Geniès-de-Fontedit est un village circulaire qui possède encore à son épicentre les vestiges du castrum de Sancto-Genesio, cité en 1206, à la veille de la croisade contre les Albigeois. Le village a connu une forte extension au XIVe siècle, comme en attestent l’église de style gothique méridional et la fontaine située au rez-de-chaussée de l’ancienne tour consulaire. L’enceinte construite pour protéger cette extension est toujours présente mais noyée dans des habitations accolées au XIXe siècle. Le Portail du Puits est le seul accès fortifié de cette période qui soit parfaitement conservé. Saint-Geniès est connu pour son célèbre clocher couvert de tuiles vernissées vertes. Edifié entre 1629 et 1635, il conserve dans ses murs les vestiges du clocher mur primitif ainsi qu’une cloche fondue en 1401. Classée aux Monuments Historiques, il s’agit de l’une des plus anciennes cloches du département. En finalité, Saint-Geniès possède les vestiges de trois châteaux localisés bien distinctement : le castrum primitif (fin du XIe - début XIIe siècle), une tour romane et le château seigneurial du XVIe siècle. Adossé sur la muraille, ce dernier était pourvu d’un système défensif adapté à l’ère du canon (tour talutée, canonnières à double ébrasement, escarpe et contre-escarpe). A voir et visiter :

  • Eglise gothique du XIVe (cadrans canoniaux et de son clocher vert)
  • Cloche du 1er quart du XVe siècle (1401), classée au M.H Castrum (XIe-XIIe)
  • Tour carrée romane place du Plô
  • Château seigneurial des XV-XVIIe
  • Vestiges de l’enceinte médiévale et du Portail de la Fontaine (XIVe)
  • Fontaine gothique (ancienne tour consulaire)
  • Portail du Puits
  • Moulin à vent
  • Chapelle Saint-Fulcran du XIXe
  • Chemin des croix

saint-genies-de-fontedit
saint-genies-de-fontedit
saint-genies-de-fontedit

thezan-les-beziers

Origine du nom : le nom de Thézan serait issu du nom latin du propriétaire des lieux de l’époque Tatianus ou Thésus.

Le duc de Mont morency y mena 3 sièges en 1577, 1578 et 1589. Pour cela, il fit construire 2 forts (un sur le tènement du même nom, l’autre n’a pas laissé de trace). Après le dernier siège, les remparts furent démantelés et les fossés comblés. La devise du village date peut-être de cette époque : «  En haut d’une colline, connue pour sa bataille ; Thézan avec fierté, dressa ses murailles ». A voir et visiter :

  • L’Eglise Saint Pierre-Saint Paul
  • La Chapelle Saint Romain
  • 5 peintures trompe-l’œil

thezan-les-beziers
thezan-les-beziers
thezan-les-beziers

vailhan

04 67 24 79 90

Vailhan est aujourd’hui connu pour le barrage des Olivettes, retenue d’eau conçue pour écrêter les crues de la Peyne en 1988.  Il mesure 254m de long et 36m de haut pour une superficie de 37 à 50 ha selon son niveau. Si le barrage est incontournable, l’histoire de Vailhan ne se limite pas à cette construction hydraulique. La Roque de Castel a livré du mobilier datant du Ier siècle av. J.-C. et le tènement du Grand Glauzy, une riche tombe gallo-romaine. L’église romane Sainte-Marie et le château dont les vestiges couronnent le rocher du Castellas sont mentionnés dès le XIIe siècle. Le village est ceinturé de collines qui offrent aux randonneurs, aux botanistes et aux chasseurs de verdoyants paysages à la flore variée et préservée : chênes verts, arbousiers, châtaigniers, bruyère… Ainsi qu’un vignoble de coteaux, en somme, tous les ingrédients qui nous font ressentir le plaisir d’être là !   La légende des sept vaillants La légende nous rapporte qu’un des anciens seigneurs de Vailhan étant parti gerroyer, son château fut attaqué par des ennemis. C’est alors que sept de ses vassaux défendirent héroïquement le manoir. A son retour, pour leur témoigner sa reconnaissance, le seigneur offrit à chacun de ces valeureux sujets un fief sur les terres situées au fond de la vallée et les gratifia de l’épithète flatteuse de vaillants, devenu depuis Vailhan. Six des sept hameaux porteraient encore le nom de ces fondateurs : Bouscarel, Cabanon, Fabié, Saudadier, Trignan et Valet.   A voir :

  • Barrage des Olivettes
  • Eglise romane du XIIe siècle
  • Vestiges du château Le Castels du XIIe
  • Capitelles

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